Franchissement de seuil chez Keyrus : Eric Cohen réduit sa participation
Keyrus, société cotée sur Euronext Growth Paris, a récemment annoncé un franchissement de seuil significatif dans son actionnariat. Dans une déclaration reçue le 19 juillet 2023, Monsieur Eric Cohen a indiqué avoir franchi à la baisse le seuil des 2/3 des droits de vote de l'entreprise, en raison d'un apport en nature d'actions à la société K Eagle Investment, qu'il contrôle.
Actuellement, Eric Cohen détient directement et indirectement 11 327 935 actions Keyrus, représentant 65,56% du capital et 64,67% des droits de vote. Ce changement dans sa participation résulte de la perte de 10 031 700 droits de vote double suite à cet apport d'actions.
Voici un aperçu détaillé de la répartition de l'actionnariat :
- Eric Cohen : 0 actions (0% capital, 0% droits de vote)
- K Eagle Investment : 11 327 935 actions (65,56% capital, 64,67% droits de vote)
- Total Eric Cohen : 11 327 935 actions (65,56% capital, 64,67% droits de vote)
De plus, il est important de noter que K Eagle Investment, en concert avec certains dirigeants de Keyrus et BNP Paribas Développement, détient ensemble 11 657 459 actions, soit 67,47% du capital et 67,16% des droits de vote. La répartition est la suivante :
- Managers : 329 524 actions (1,91% capital, 2,49% droits de vote)
- K Eagle Investment : 11 327 935 actions (65,56% capital, 64,67% droits de vote)
- BNP Paribas Développement : 0 actions (0% capital, 0% droits de vote)
La structure de l'actionnariat de K Eagle Investment se compose principalement de :
- Eric Cohen : 351 109 509 actions (81,18% capital, 81,18% droits de vote)
- BNP Paribas Développement : 70 000 001 actions (16,18% capital, 16,18% droits de vote)
- Managers du groupe Keyrus : 11 429 005 actions (2,64% capital, 2,64% droits de vote)
En conclusion, ce franchissement de seuil souligne une évolution significative dans la structure de l'actionnariat de Keyrus, ayant des implications potentielles sur la gouvernance et la stratégie de l'entreprise. Les investisseurs et analystes doivent suivre de près ces développements pour évaluer leur impact sur la performance future de la société.